Les sacs plastiques à usage unique sont dans le viseur de la Commission Européenne, dans le cadre de la protection de l’environnement. Afin de lutter contre leur utilisation massive, la mise en place de taxes voire leur interdiction pure et simple pourrait être décidée.

Je reviens après une semaine d'absence, j'ai atterri pourtant, mais je ne touche pas terre ! Et non, je ne vous montrerais pas encore les photos de vacances car elles ne pas triées, nommées, rien, que dal...

Vous jouez au Golf ? Moi, non. Mon Poux, avant de me connaître, a joué en amateur et m'a emmené une fois sur un practice...mais je n'ai pas osé essayé...peut-être dans une autre vie !

Toujours est-il que, quand j'ai lu cet article, j'ai souris et je voulais le partager avec vous:

Et si un des sports les moins écologique du monde se (re) donnait une bonne conscience en utilisant une balle de golf totalement recyclable puisque réalisée à base de carapaces broyées de homards ?

La green-ball est donc constituée  d’un revêtement en carapaces de homard qui,  associé à une colle biodégradable forme un ensemble étonnement compacte et proche de la réalité. Il semble, vu les premiers tests que ces balles fonctionnent avec les fers et les bois et volent « a une distance identique aux autres balles biodégradables ». Mais un  peu moins loin que les vraies balles.
En même temps, OSEF.

Si d’autres balles biodégradables existent, la solution proposée par cette invention de l’université du Maine devrait coûter moins cher que les produits existants pour des caractéristiques techniques équivalentes.

La majorité des golfs du Pays Basque faisant face à l’océan, on peut imaginer (bisque, bisque) que le retour de la matière première à son élément d’origine semble dans la normalité de la société actuelle.

Pour que le green deviennent totalement green, il restera plus qu’à supprimer les arrosages à l’eau potable, les déforestations, l’urbanisation périphérique et les engrais pour gazons (maudits).

Source: www.cotebasque.net

Je me pose quelques questions:

* dans quelle poubelles jete-t-on les carapaces?

* va-t-on creer une filiaire de récupération de carapace de homard?

* l'espèce va-t-elle disparaître?

Bon, je ne pense pas qu'on n'en soit encore là, cette production étant pour le moment anecdotique ! Mais je trouve ça "drôle" !

que faites vous de mes veines
que faites vous de mes artères
vous êtes mes bactéries
vous êtes ma leucémie
vous vous préoccupez tant de vous mêmes
de tous vos petits maux et de tous vos problèmes
et moi qui vous nourrit comme un peu votre mère
vous faites si peu de cas de ma vie,  de mon sang
je sens monter en moi pour la 1 ère fois
un drôle de sentiment que vous appelez la haine
je vais vous balayer ,je vais vous décimer
ceci est mon corps ,ceci est mon sang prenez et mangez en tous
prenez tout le gâteau et ne respectez rien ,continuez a croire
que vous êtes les plus beaux, que seul votre voisin peut être le méchant
il faut éliminer toutes sortes d'animaux ,ceux qui piquent ,ceux qui mordent
ou ceux qui font du bruit ; les autres on les élèvent ,les engraissent   
pour les mettre dans l'assiette d une minorité de soi disant humains

et l'eau a quoi sert elle ?vous n'en  buvez  même plus
pepsi, red bull,whisky ,pinard c'est ca qu'on vous fait boire
la jeunesse sait elle qui de l'eau, sont  exclus
300 l pour les uns ,moins de 2 pour les autres
quel est cet équilibre qui me donne la nausée

...

Pour lire la suite, savoir qui parle et voir la vidéo, c'est ici

Source photo: Cléliart.fr

Une initiative que je trouve personnellement très intéressante, très sympathique, très solidaire. Il fallait que je vous en parle:

Ce site a été créé par une journaliste passionnée de jardins et de jardinage.

Il ne s’agit pas d’une association ou de tout autre forme de communauté, mais d’une initiative personnelle répondant aujourd’hui à une réelle demande, axée sur des concepts économiques, écologiques et d’entraide.

Ce site a pour objectif de mettre en relation les propriétaires de jardins avec des passionnés de jardinage vivant à proximité de chez eux, et vice-versa, ainsi que des jardiniers proposant ou souhaitant échanger des graines, des plantes, des outils ou tout ce qui a trait à la culture du verger et du potager.

C’est la mise à disposition d’un service de proximité à usage totalement gratuit, à visée altruiste et conviviale, nourrissant le rêve, parfaitement fondé, qu’un jour ce monde témoigne de plus d’ouverture et de bon sens.

Inscrivez-vous et rejoignez le réseau

Le principe est simple. Vous prêtez une partie de votre jardin à un jardinier habitant près de chez vous qui n’a pas de terre, mais rêve de créer un potager. En échange, le jardinier vous fait profiter d’une partie de sa récolte. On peut aussi envisager de prêter une parcelle de terre contre l’entretien du jardin par exemple, ce qui n’empêche pas d’offrir quelques légumes en prime !

En ville ou à la campagne

Pas nécessaire de posséder un terrain immense. Que ce soit en ville ou à la campagne, quelques mètres carrés suffisent pour planter des tomates ! Aussi n’hésitez pas, inscrivez-vous, consultez les offres et rencontrez, près de chez vous, une main verte qui n’attend qu’un bout de terre pour exercer ses talents.

Une nouvelle manière de concevoir l’art du potager

Parce que rien n’est meilleur que de savourer les légumes de son jardin, parce que chacun souhaite nourrir sainement sa famille sans pour autant devoir creuser dans son budget, ce site inaugure une nouvelle manière de concevoir le jardinage, plus ouverte, plus conviviale, plus solidaire et définitivement inscrite dans l’air du temps.

www.pretersonjardin.com

Source ecolorama.fr

Dimanche dernier, nous sommes donc allés au salon Eco'Vie à Biarritz.

Honnêtement, il faut avoir un but ou être branché ecolo pour que cela soit intéressant. Si c'est juste pour traîner ses guêtres un dimanche, cela ne vaut pas le coup. Nous y étions déjà allés l'année dernière et franchement, je ne pense pas y retourner l'année prochaine...j'irais plutôt au salon du chocolat !

Mon Poux avait y un rendez-vous, je l'ai donc accompagné avec Titi, mais la prochaine fois, c'est sans moi.

Je n'ai pas envie de m'étendre sur les exposants...

Nous y avons quand même fait 2-3 achats:

* 2 pots Jean Hervé: une pâte à tartiner au sésame et un mélange apéritif sans huile de palme.

* Mais surtout, mon mug de la mort qui tue : je me sens piratesse quand je bois avec, grrr...

Il est trop la classe. Bref, j'ai craqué en le voyant.

Pour la petite histoire, Sea Shepherd est une organisation internationale à but non lucratif de conservation de la faune marine.

J'ai eu la chance de voir Paul Watson lors d'une projection suivie d'un débat et il est vraiment imprégné par son action, c'est un vrai pirate !!

Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur site.

C'est donc en toute connaissance de chose que j'ai aussi acheté ce mug.